coeur etale
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Il faut laisser de la place pour les erreurs, Ça paraît intelligent au début, Jusqu’à ce qu’elles peuplent ton coeur, Jusqu’à ce qu’elles envahissent ta vue.
Quand les erreurs ternissent tes pensées, Comment continuer à avancer ? Quand les regrets assombrissent tes journées, Comment les accepter?
Chaque sourire te rappelle une larme, Chaque rire te rappelle une blessure, Tes souvenirs en vacarme, Ruinent tout ce qui est pur.
J’ai encore ton collier, j’ai gardé une trace de toi, un signe que tu étais là, une preuve que tu as existé.
On me demande si je regrette, d’être resté malgré tout, comme si tu n’avais jamais été doux. Je refuse de voir notre amour comme une perte.
On s’est aimé à s’en détruire, notre amour nous a brûlé, notre amour nous a blessé, On s’aimait à en mourir.
Mais on s’aimait, d’un amour qu’on ne retrouvera plus jamais.
I was exhausted, i kept repeating to myself to not fall asleep because i usually don’t go out and i wanted to have fun but i was exhausted. But i stayed awake because charlotte and armand were there and they always made me feel better, and that day i really needed it. He was coming, and i wanted to be happy about it, i loved him after all, but i knew he was angry and i also knew my friends were gonna worry if they saw how he usually treated me when he was mad. I wanted to believe it was not his fault, that he had troubles communicating and that he would never hurt me intentionally but still he scared me when he was angry. And then i started panicking. What if he screamed at me? What if our argument ruined the mood? I was genuinely having fun before that i didn’t want to ruin it. What if he became mean again? I was drowning in my thoughts, i was drowning and i couldn’t see the shore until gina talked. « Angele do you want me to not let him in? » I said yes. That was the first time i didn’t want to see him, that was also the first time my friends started to worry about our relationship. I spent the night crying in my friend’s arm, telling him everything, and he spent the night out hating me for not letting him in. It’s over now. It’s over but he’s outside Cha’s house and he’s telling me to come down. It’s over but part of me wants to see him. It’s over but he’s still waiting outside, and Armand is still trying to protect me.
de la soie de la dentelle, du bleu royal couvrant mon corps et sur mon cou, des parures d’or, un corset pour briser mes ailes. rien n’est laissé au hasard dans mon attitude, un regard doux envers les prétendants, et un signe de main discret aux enviants, aucun geste brutal, rien n’est rude, tout est beau, tout est magnifique, sois joyeuse sans être enfantine, sois rieuse en restant digne, tout est beau, tout est fantastique. hormis les yeux cachés dans l’obscurité, ceux qui attendent ta défaite, pour qui tu te dois d’être parfaite, sinon tu perdras tout avec la prospérité.
elle m’a aimé, je le sais, elle m’a aimé jusqu’à la destruction, elle est toujours là pour me rappeler la destination, elle m’a tant aimé que j’ai fini par brûler. son amour est brulant, il prend aux tripes et empoigne le coeur, et sur son chemin il brûle mes peurs, son amour est impatient et menaçant. l’aimer est une épreuve, comment donner assez, comment aimer un coeur brulé, qui, de passion, s’abreuve. elle brûle tout sur son passage, mais je me tiens encore debout, au milieu des flammes qui me rendent fou, sous cette chaleur mon coeur de glace fait naufrage. le monde croule sous les flammes, mais elle ne les laisse pas m’atteindre, et le jour où elle va s’éteindre, je serai là pour ranimer son âme.
« regarde toi tu es magnifique » je ne vois pas ce que vous voyez, pourtant j’ai bouclé mes cheveux et j’ai mis une jolie robe mais je les vois encore, je vois des cornes sortir de mes jolies boucles, et ma peau semble rouge vif, quand je baisse les yeux mes mains sont pâles mais quand je regarde en face je vois des traces de sang sur mes doigts. mon beau collier s’enfonce dans ma peau et laisse une marque plus sombre sur mon corps. les fleurs posés sur mon bureau forment des flammes dans le miroir, vous voyez une organisation parfaite et une journée calme, je vois les blessures, j’entends les cris et je sens les explosions a l’intérieur de mes pensées.
je veux être la définition de la réussite, danser sous la pluie sans me tremper être amoureuse sans me blesser, je veux dépasser les limites. je veux imposer mes règles, mais être libre comme l’air, ne plus jamais devoir me taire, je veux les ailes de l’aigle sans le danger du vol, je veux l’amour et sa passion, sans l’angoisse et ses tourbillons, je veux flotter en restant sur le sol. mais surtout, je te veux, toi, ton sourire et ton coeur, tes pensées et tes mœurs, maintenant, plus tard et toujours, je veux te rendre heureux
ses pieds l’avaient guidé la, à ce petit parc d’enfants pas loin de sa maison. elle aimerait tant pouvoir se souvenir des moments passés ici, pouvoir répondre aux questions de ses amis, et pouvoir être capable de rigoler avec eux de ces moments naïfs. elle s’approcha de la balançoire et s’assit. comme ci en se retrouvant ici elle pourrait se rappeler. elle se balançait en se demandant comment c’était à l’époque ou ses jambes ne touchaient pas le sol et où elle avait l’impression de voler en se balançant. elle aimerait revivre ces moments là, pour redevenir l’enfant qu’elle était et redevenir elle même. une partie d’elle avait disparue depuis et avait emporté avec elle ses souvenirs comme pour lui dire qu’elle ne serait plus jamais pareil. Alice voulait simplement être capable de répondre quand on lui demandait si elle se rappelait d’un moment lointain, mais la vie en avait décidé autrement et aujourd’hui elle était sur une balançoire d’enfant en se demandant qui elle était avant. est ce que la petite alice serait déçue ? après tout on lui avait raconté qu’avant elle était le soleil de ses proches. aujourd’hui Alice avait plutôt l’impression d’être une corvée pour eux, elle n’était pas la plus gentille ou la plus sociable, elle n’était pas non plus devenue actrice et était même parfois incapable de voir ses amis. la petite Alice serait probablement très déçue. elle qui avait toujours voulu rendre le monde heureux, maintenant Alice avait l’impression que elle ne pouvait faire ça que en se taisant. elle qui était toujours pleine d’énergie était maintenant parfois vidée entièrement de force. et puis Alice avait laissé des cicatrices éternelles sur la petite Alice et ne s’était jamais excusé. elle l’avait forcé à s’affamer, à se taire alors qu’elle était normalement bavarde, mais surtout elle avait voulu la faire disparaître. elle s’en voulait terriblement et c’est à ce moment là qu’elle l’aperçu. une enfant, blonde et pétillante qui venait vers elle. « tu sais ce n’est pas grave je ne t’en veux pas je sais que tu n’y peux rien, c’est de la faute du monde, il nous a fait trop mal. je ne t’en veux pas parce que tu as réussi à l’avoir lui, tu vois tu n’as pas totalement raté, maintenant si tu ne peux pas rendre la terre entière heureuse, fais le sourire au moins. il a soigné ce que le monde à causé, ce n’est pas grave si tu as changé je t’aime quand même car au fond tu restes la même et je le sais. reste simplement avec des personnes qui ne t’empêchent pas d’agir comme moi ».
elle me fixait du regard, comme si elle attendait, un signe, un mot mais au fond elle le savait, il était trop tard. et si son couteau n’était pas aussi près de moi, je lui aurais dis, a quel point elle était magnifique cette nuit, mais le sol était déjà couvert de sang froid. mais je m’écroulais au sol brutalement, elle me lançait un regard noir, pendant que mon sang s’étalait dans le bar, alors elle retira le couteau doucement. avant de me poignarder encore, elle souriait, et avec plaisir elle m’écoutait, crier plus fort. elle est sortie doucement, en me fixant du regard, car elle savait qu’il était trop tard, et que mes battements de coeur se faisaient de plus en plus lent. elle était magnifique, ses cheveux longs donnaient l’impression de flotter, et sous la lumière ses yeux avaient l’air dorés, elle était magnifique, ma tueuse favorite.